Et bien, voilà, Celeyna, tu es rêvée pour la première fois !
Sortie de cette boite à Pandore, communément appelée, Internet, sûrement moins maléfique que l’antique mais assez pour que cette espérance s’y trouvant encore après des millénaires, s’introduise dans mes rêves un peu fou !
Posée sur ces draps sélénites, tes couleurs chatoyantes ne sont pas encore représentées ; noire, c’est ainsi qu’on te décrit et c’est ainsi que je t’ai rêvée. Tu aimes le rouge, tout comme moi et le rouge et noir ne s’épouse pas, n’est qu’euphémisme !
Ici métaphore, ses épousailles mais conclusion absurde, il suffit de regarder ce fil rouge, il te va à merveille !
Méfiance cependant, ce fil te relie à l’artiste et n’espère pas que je sois un être à part, avant tout, je suis homme !
Tes espérances sont d’être rêvée, posée sur la toile, le papier, encensée aussi par ces mots venus eux aussi, de ma folie particulière. Folie douce, tu as pu le remarquer mais mes espérances, je me les réserve encore !
Imaginons d’abord cette toile, déjà dessinée, où ta peau sera couleur chair, teintes on ne peut plus chaudes, les tiennes !